Objectifs :
La signature électronique est un dispositif particulièrement réglementé mais qui offre des pistes d’amélioration et d’optimisation des processus avec un retour sur investissement visible.
Ce stage permet d’aborder les usages métier, le cadre juridique encadrant l’usage de la signature numérique ainsi que les méthodes et les outils pour sa mise en œuvre dans un cadre de confiance numérique.
Contenu du stage :
La signature électronique : concepts, enjeux, définition et usages, les différents niveaux de signature et leur mode de mise en oeuvre
Les modes de signature : ce qu’est une signature électronique et ce qui ne l’est pas
Les pratiques et les tendances :
- Usages métiers
- Moyens à mobiliser
- Niveaux de signature et certificats
Le cadre juridique :
- Les lois et les décrets nationaux.
- Le Règlement eIDas V2 (focus sur les évolutions récentes -2024)
- Les recommandations de l'Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information (ANSSI)
- Le Référentiel Général de Sécurité (RGS) : une obligation pour les administrations sur laquelle peut s’appuyer le secteur privé
- Les éléments pour constituer la preuve électronique
- Les impacts sur le système d'information et sur l’organisation
Outils et méthodes de déploiement :
- Les logiciels et solutions du marché
- Scénarios d’intégration dans le système d’information
- Les référentiels documentaires : Politique de signature et de gestion de la preuve
- Analyse des risques
- Coût du projet
Compétences cibles :
- Se repérer dans la réglementation particulière encadrant la signature électronique
- Repérer les points sensibles pour son projet
- Envisager l’adoption d’une solution dans ses processus métier
Modalités d'évaluation :
- Auto évaluation dans le questionnaire de préparation
- Travaux dirigés autour des concepts de signature électronique
- Etudes de cas pour comprendre chaque niveau de signature
- Evaluation à chaud
- Evaluation à froid (6 mois)
Une attestation de compétences est remise en fin de formation.
Méthodes pédagogiques :
- Apports méthodologiques et juridiques 60%
- Etudes de cas et retours d’expériences d’experts 40%